LaFnac, enseigne de produits culturels et technologiques, a annoncé qu'elle allait fermer son magasin de Villiers-en-Bière (Seine-et-Marne)
En2009, François-Henri Pinault annonce son intention de vendre la Fnac. En janvier 2011, un nouveau PDG, Alexandre Bompard, est nommé
Répondantà une rumeur tenace qui colle à la peau de la Fnac, la direction lorientaise a décidé de s'exprimer pour démentir tout projet de déménagement de l'enseigne. Une prise de parole
Publiéle 09/10/12 à 00h00 — Mis à jour le 29/01/14 à 13h45. commentaire. La Fnac, qui sort du giron de PPR et devrait être introduite en Bourse en 2013, reste leader sur le marché
EnseigneConcurrente De La Fnac, A Ferme En France Anonyme - 24 Août 2022 17:03 Loustic6 Anonyme - 24 Août 2022 17:03 Spirale En Fumee Anonyme - 24 Août 2022 17:07
ParThomas Martin Publié le 15 Jan 14 à 21:05. La Fnac vient d’annoncer qu’elle allait fermer deux de ses magasins en France pour cause de baisse de fréquentation. Cette décision concerne
EnFrance, le site d'enchères a perdu sa place de référent, dépassé par les petites annonces et une myriade d'e-commerçants
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Conforamarenonce à une ultime surenchère pour racheter l’enseigne d’électroménager Darty. C’est donc la Fnac qui sort victorieuse de cette bataille à coups de millions d’euros qui
5bgtrYu. Darty aurait été mis en vente par ses actionnaires, a affirmé Le Figaro en début de semaine. Un temps intéressé, Carrefour aurait rapidement refermé le dossier. Photononstop Il y a encore une dizaine d'années les enseignes de grandes distributions se seraient arrachées comme des petits pains. Aujourd'hui en difficultés financières à l'image de Darty, la Fnac ou encore Virgin, des grandes enseignes sont mises en vente et ne trouvent pas de repreneur. Et quand elles en trouvent, à l'instar de Conforama, racheté en 2011 par le sud-africain Steinhoff, l'essai reste encore à transformer. L'enseigne d'ameublement a lancé un plan social au sein de son service après-vente. Crise oblige, les distributeurs sont touchés de plein fouet par la conjoncture morose. Les ventes dégringolent, les magasins licencient voire mettent la clef sous la porte. D'autant que la concurrence du e-commerce les a asphyxiés. Pris à la gorge par les géants du web, qui cassent les prix, les distributeurs sont à bout de souffle. Darty n'est pas encore mort...Le leader français de l'électroménager Darty n'y échappe pas. Le Figaro a affirmé en début de semaine que l'enseigne avait été mise en vente, précisant même que la banque Goldman Sachs aurait été mandatée dans ce but. Une information démentie par le fonds Knight Vinke, détenteur de 25% de Darty. Carrefour aurait néanmoins eu le temps de regarder le dossier avant de le refermer rapidement, dissuadé par un prix de vente estimé à 297 millions d'euros. Un échec qui relancerait l'hypothèse d'une fusion entre Darty et son rival britannique Dixons, selon le Figaro. Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement Quoi qu'il en soit, l'enseigne française aura du mal à se faire belle pour se marier. Elle a elle-même reconnu que l'année sera difficile. "Darty est en difficulté car le secteur de l'électrodomestique traverse une mauvaise période depuis trois ans du fait d'un effet de conjoncture. Les biens durables sont les premiers touchés par la crise. S'ajoute à cela, la concurrence d'Internet qui fait pression sur les marges. Et, en France, le passage à la télévision numérique a tout d'abord boosté le marché mais une fois le pic passé, il s'est effondré. Enfin, Darty est resté longtemps sur ses approches traditionnelles avant de se moderniser " explique Cédric Ducrocq, PDG du groupe Dia-Mart. C'est ainsi que le groupe se débarrasse peu à peu de ses activités les moins rentables sortie de l'Italie en 2012 et départ d'Espagne programmé en juin prochain. Toutefois le spécialiste de l'électroménager conserve des atouts "Darty passera le cap grâce à son image de qualité et la performance de son service après vente et de livraison" assure Cédric Ducrocq. ... mais la Fnac et Virgin n'offrent pas de visibilitéLe distributeur français d'électroménager n'est pas le seul à éprouver des difficultés. Les enseignes de biens culturels sont aussi dans le rouge. Après avoir cherché pendant trois ans un repreneur pour La Fnac, PPR-Kering s'est résigné à introduire sa filiale en Bourse. L'AMF a d'ailleurs donné ce vendredi son feu vert à l'opération, avec une première cotation envisagée pour le 20 juin. Le groupe de François Pinault ne gagnera pas un euro dans l'affaire puisque les actions du groupe Fnac seront entièrement distribuées à ses actionnaires. Ce qui est une façon de s'en débarrasser sans la brader. Les fondamentaux de la Fnac, la encore, ne plaident pas en sa faveur. En 2012, le chiffre d'affaires a encore baissé de 2% en France, où se concentrent les deux-tiers des ventes, et son résultat a chuté de 23% à 79 millions d'euros. Par ailleurs, d'après le Figaro, le niveau de rentabilité aurait glissé sous les 2% en 2012, contre 4,2% en 2010. "La Fnac est une très belle entreprise mais il n'y a pas de visibilité sur son avenir. Les investisseurs sont prêts à acheter une entreprise s'ils pensent que le lendemain elle vaudra plus. Or, dans le cas de la Fnac, on ne voit pas de perspectives et Kering ne veut pas la brader. Les relais de croissance actionnés par le management ne semblent manifestement pas suffisants aux investisseurs" affirme Cédric Ducrocq. La situation est encore plus critique du côté de Virgin, désormais en redressement judicaire. "L'agitateur culturel", qui, à la différence de la Fnac, ne peut compter sur les produits techniques pour se rattraper, perd de l'argent. " Le problème de Virgin est qu'il est très dépendant de la musique, plus que la Fnac. L'enseigne a donc été particulièrement affectée par l'explosion du téléchargement légal et illégal et par le développement de pure-players comme Amazon " précise Cédric Ducrocq. Seuls les plus résistants survivrontTous deux sont confrontés à la chute de leurs marchés traditionnels comme les CD, les DVD ou encore les livres. Victimes du téléchargement illégal, de la dématérialisation des produits et de la concurrence du web, les distributeurs culturels connaissent une descente aux enfers. Les jeunes sont les premiers à déserter ces magasins. En effet, selon une étude du Centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie Credoc au premier semestre 2012, 62% des 18-24 ans regardent les films en streaming. Or face au géant américain Amazon, les enseignes culturelles peinent à rivaliser. A coup de prix réduits, de livraison gratuite en temps record et d'offre exhaustive, Amazon a réussi à séduire les consommateurs. Les enseignes physiques sont contraintes de se lancer à leur tour sur la toile et de baisser leurs prix pour rester compétitives. Toutefois, si les sites de e-commerce gagnent du terrain, les magasins physiques ont toujours leur place sur le marché "Internet ne pourra pas absorber la totalité du marché, il reste de l'avenir pour le réseau physique mais ce sont les plus résistants qui survivront", prédit Cédric Ducrocq. L'avenir de ces enseignes ne s'en dessine pas moins en pointillés. Les plus lus OpinionsLa chronique de Sylvain FortPar Sylvain FortLa chronique du Pr Gilles PialouxPar le Pr Gilles PialouxLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne Rosencher
Syndicats qui réclamaient le double et menaçaient de continuer l'occupation des magasins. Un accord, qui satisfait les demandes des syndicats, a finalement été trouvé dans la soirée du 20 juin. Les difficultés de Virgin ne datent pas d'hier. En 2012, le groupe avait déjà fermé plusieurs magasins en France, dont ceux de Mérignac, Saint Denis et du Carrousel du Louvre à Paris. Mais ces fermetures n'ont pas suffi à stopper l'érosion du chiffre d'affaires, en baisse constante depuis plusieurs années. De 397 millions d'euros en 2007 à 371 millions l'année suivante. La baisse s'est accélérée en 2012 avec un chiffre d'affaires d'environ 245 millions d'euros. A tel point qu'en janvier 2013, le groupe enregistre une dette de 22 millions d'euros. Un montant insoutenable qu'il faut régler avec des mesures fortes. Il est prévu de fermer une dizaine de magasins, dont celui des Champs-Élysées, symbole d'un modèle dépassé un loyer exorbitant pour un chiffre d'affaires en baisse. Pour l'emplacement des Champs-Élysées, Virgin débourse plus de euros de loyer par mois. Comment assumer une telle charge quand la vente physique de biens culturels s'effondre ? Les clients se tournent de plus en plus vers internet. Que ce soit pour acheter des disques, des livres ou des jeux vidéo, proposés avec une réduction et sans frais de livraison par de nouveaux acteurs comme Amazon. Mais ces nouvelles pratiques auxquelles sont confrontées d'autres enseignes culturelles, suffisent-elle à expliquer le dépôt de bilan de Virgin au début de l'année ? Du côté des salariés, on en veut tout autant à la direction du groupe, accusée d'avoir commis d'importantes fautes stratégiques. Les critiques portent sur le manque d'anticipation et d'accompagnement des mutations du marché. Pixel Virgin - Guy Olharan Guy Olharan est délégué CGT et secrétaire du Comité d'Entreprise . Il est très critique sur le comportement du fonds d'investissement Butler Capital, propriétaire depuis 2008 des trois quarts des actions de Virgin "des gens qui ne connaissent pas la culture … qui n'ont pas bâti de projet, en espérant en tirer des bénéfices". Guy Olharan en est persuadé, le modèle des enseignes culturelles physique ne disparaîtra pas, encore faut-il "accompagner les nouveaux usages" Pour tenter de redresser la barre, les propriétaires de Virgin nomme une nouvelle patronne Christine Mondollot. Arrivée en mai 2012 la PDG sait que l'entreprise ne pourra survivre sur le même modèle. Elle a déjà en tête la nécessité de se séparer des magasins les plus déficitaires, pour se concentrer sur des magasins plus petits, et plus diversifiés. Pixel Virgin - Christine Mondollot Elle sait aussi qu'il faudra s'appuyer sur le site de téléchargement légal Virgin Mega qui fonctionne plutôt bien, même s'il ne capte qu'une petite partie du marché. Mais la situation est déjà désespérée et Christine Mondollot découvre une "société beaucoup plus mal en point que ce qu'[elle] pensait". La présidente de Virgin revient sur cette dernière année de vie de l'enseigne C'est avec beaucoup de lucidité que Christine Mondollot analyse les problèmes auxquels a été confronté Virgin. Nous évoquions l'évolution des pratiques de consommation. Sur ce point, la dirigeante tire les mêmes conclusions que les syndicats " Il y a eu des mouvements stratégiques mais certainement pas à la hauteur du problème, et certainement pas assez rapides. Nous le regrettons, car cela fait qu'aujourd'hui nous tombons". Autre point le coût des loyers pour des magasins avec une marge relativement faible. Le loyer du magasin des Champs Elysées représentait 18% du chiffre d'affaires, soit près de quatre fois plus que la moyenne pour ce genre de commerces. Autant de handicaps sur un marché très concurrentiel Amazon, Apple Les autres enseignesDes librairies de plus en plus fragiles A côté de Virgin, les autres enseignes connaissent des fortunes diverses. La FNAC, numéro 1 du secteur est dans une situation délicate. En début de semaine, Le Parisien / Aujourd'hui en France évoquait un nouveau plan social qui concernerait 600 postes. Une information démentie par la direction, malgré la précision des détails sur cette réduction d'effectifs. Il n'est pas question de confirmer une information qui pourrait fragiliser l'entrée en bourse de l'enseigne. Cette entrée en bourse s'est effectuée le 20 juin et à l'issue de cette première journée de cotation, le titre perdait 13% de sa valeur. Pour les marchés, il est clair que cette entrée en bourse est moins un moyen d'acquérir une indépendance comme le laissait entendre Alexandre Bompard PDG de la FNAC; que la solution trouvée par le groupe PPR pour se désengager de l'enseigne. Pixel Virgin - bandeau 2 Cette semaine encore, le groupe a annoncé la fermeture de son magasin d'Aubervilliers en région parisienne. Confrontée aux mêmes défis que Virgin, la FNAC a lancé en 2010 un plan stratégique "FNAC 2015" pour s'en sortir. On y trouve déjà la réduction des effectifs, avec en 2012 avec la suppression de 510 postes à travers le monde dont 310 en France. L'enseigne décide également de diversifier son offre en s'engageant sur de nouveaux marchés comme celui de "l'univers enfant". La Fnac propose également de nouveaux produits à forte valeur ajoutée le petit électroménager que l'on voit arriver dans ses magasins. L'enseigne décide aussi de renforcer son site internet pour étoffer son offre. Pixel Virgin - Jean-Luc Treutenaere Cette diversification de l'offre physique et dématérialisée a été le principal enjeux pour l'a chaîne de magasins Cultura. Une enseigne assez jeune lancée en 1998 et qui compte aujourd'hui 53 magasins en France. Cultura se porte bien puisque que cette semaine un 54e magasin a ouvert à Bordeaux. Contrairement à Virgin et la FNAC, Cultura est très peu présente dans le centre des villes et préfère la périphérie, ce qui lui évite les problèmes liés aux loyers exorbitants. Reste que l'enseigne doit faire face à l'érosion du marché, à la concurrence pas toujours très loyale de la part d'acteurs américains Amazon, …. Jean-Luc Treutenaere, le responsable des relations extérieures explique comment sa chaîne de magasins a répondu à ces défis Face à la "concurrence mondiale" , Jean-Luc Treutenaere regrette quand les concurrents "ne respectent pas le règles du jeu. Quand vous ne payez pas d'impôts, la compétition n'est pas juste" . Le concurrent qui a parfois des pratiques "déloyales", c'est Amazon. Une véritable machine de guerre commerciale qui n'hésite pas à profiter de toutes les failles légales pour payer le moins d'impôts et proposer des produits les plus compétitifs. Un état d'esprit qui se retrouve dans l'organisation du travail, même en France. La multinationale compte plusieurs sites sur le territoire et un journaliste a réussi à s'infiltrer sur l'un d'eux, à Montélimar dans la Drôme. Jean-Baptiste Malet témoigne des méthodes de travail particulières imposées aux salariés. Il répond à Éric Chaverou Retrouvez ici la totalité de l'entretien avec le journaliste Jean-Baptiste Malet Pixel Virgin - bandeau 5 L'enseigne culturelle n'est pas morteLa crainte des acteurs du marché de la vente physique de biens culturels est de voir les enseignes fermer les unes après les autres. Il est dans l'intérêt de la diversité culturelle que subsiste une offre abondante et diverse grandes enseignes, petits commerçants. Pixel Virgin - Philippe Moati Pour Philippe Moati, professeur d'économie à l'université Paris Diderot et cofondateur de l'Observatoire Société et Consommation Obsoco, le chemin à ne pas prendre est celui des Etats-Unis. Là -bas, la concurrence sur le marché des biens culturels a provoqué un appauvrissement de l'offre, en quantité et en qualité La France peut donc éviter de reproduire les erreurs commises aux Etats-Unis ou au Japon. La solution passe par un cadre légal plus protecteur pour les acteurs du marché notamment vis-à -vis des concurrents étrangers. Selon Philippe Moati, même si la réorganisation du marché physique de biens culturels se fait aux dépens, en partie, de l'emploi, les acteurs qui ne sont pas évincés pourront profiter éventuellement d'une relance du marché. Abdelhak El Idrissi
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