Enfin de compte, la Bourse, ce n’est pas aussi sorcier que ça ! Passage obligĂ© de l’investissement en bourse, les sociĂ©tĂ©s de bourse (SDB) sont pourtant mĂ©connues du grand public. IntermĂ©diation, placement des titres, tenue de comptes, gestion de portefeuilles, conseil, accompagnement dans le cadre des opĂ©rations financiĂšres Nuitpolaire Ă  Naryan-Mar, Russie. 23 dĂ©cembre 2014, 11h27 (midi) La nuit polaire est un phĂ©nomĂšne qui se produit dans les rĂ©gions les plus septentrionales et mĂ©ridionales de la Terre lorsque le Soleil ne se lĂšve pas. Cela se produit uniquement dans les cercles polaires 1. Le phĂ©nomĂšne opposĂ©, le jour polaire, ou Soleil de minuit, se kPJSx. On a vu comment l’üle-vaisseau Atlantide s’est posĂ©e dans l’ocĂ©an Atlantique. On a vu comment le commandant de bord, Atlas, a loupĂ© son dĂ©collage il y a 12 000 ans, provoquant le terrible tsunami du DĂ©luge. Puisque les dieux Atlantes et les HyperborĂ©ens se ressemblent tant -des ĂȘtres trĂšs civilisĂ©s, trĂšs instruits et trĂšs puissants, possĂ©dant des objets merveilleux, vivant dans des palais d’un luxe indescriptible- il y a fort Ă  parier que ce sont vraiment les mĂȘmes des dieux cosmonautes. Oui, ce sont les mĂȘmes, mais pas au mĂȘme moment. Ni au mĂȘme endroit. Si l’Atlantide est une Ăźle en effet, le cas d’HyperborĂ©e est un peu diffĂ©rent. La carte polaire de Mercator reproduite au dessus et plus loin dans le texte, fait Ă©tat de quatre Ăźles et d’une montagne centrale, le mont Meru. Or il est impossible que ces Ăźles aient existĂ© sous la banquise du pĂŽle nord. Alors ? Il faut chercher une autre hypothĂšse
 Celle-ci a ma prĂ©fĂ©rence le mot latin HyperborĂ©e signifie littĂ©ralement au-dessus du pĂŽle nord ». Donc en plein ciel
 HyperborĂ©e n’est pas une Ăźle, c’est une terre dans le ciel. On constate que l’Atlantide et HyperborĂ©e n’apparaissent pas en mĂȘme temps. Quand l’Atlantide disparaĂźt, il y a ans, on ne parle pas encore d’HyperborĂ©e. Elle ne devient prĂ©sente dans les textes lĂ©gendaires qu’entre 4000 et 2000 l’Ere Courante HyperborĂ©e est donc bel et bien le successeur de l’Atlantide, le nouveau vaisseau-mĂšre des dieux cosmonautes, en orbite gĂ©ostationnaire au-dessus du pĂŽle nord. C’est la signification exacte du mot hyper au dessus, et BorĂ©e ou borĂ©al le pĂŽle nord. La prĂ©sence ahurissante de cette nouvelle pleine lune, d’un diamĂštre apparent supĂ©rieur Ă  l’ancienne, n’est pas passĂ©e inaperçue. Mais les humains de cette Ă©poque Ă©taient largement ignorants en astronomie, car les dieux ne les avaient pas encore Ă©duquĂ©s. Ils ont donc acceptĂ© avec bonne grĂące ce changement dans le ciel, qui allait vite se traduire par un changement sur terre plus important encore. D’aprĂšs DĂ©mĂ©trios, parmi les Ăźles qui entourent la Bretagne, plusieurs sont dĂ©sertes, dispersĂ©es, et quelques-unes tirent leurs noms de dĂ©mons ou hĂ©ros. Naviguant dans ces rĂ©gions sur l’ordre du roi, pour s’informer, il aborda dans la plus proche des Ăźles dĂ©sertes. Elle n’avait pas beaucoup d’habitants mais ils Ă©taient sacrĂ©s aux yeux des Bretons et Ă  l’abri de toute injure de leur part. A son arrivĂ©e, un grand trouble venait de se manifester dans l’air, accompagnĂ© de signes cĂ©lestes nombreux. Les vents soufflaient avec fracas et la foudre tomba en plusieurs endroit. Puis le calme s’étant rĂ©tabli, les insulaires dirent qu’il s’était produit une Ă©clipse de quelques ĂȘtre supĂ©rieurs. 
 Si les grandes Ăąmes viennent Ă  s’éteindre ou Ă  pĂ©rir frĂ©quemment, comme aujourd’hui, elles nourrissent du vent et de la grĂȘle; souvent aussi, elles empoisonnent l’air d’émanations pestilentielles. LĂ , ajoutent-ils, Kronos endormi et gardĂ© par BriarĂ©e, est emprisonnĂ© dans une Ăźle oĂč le sommeil est le lien inventĂ© pour le tenir prisonnier; tout autour de lui nombre de dĂ©mons sont ses valets et ses serviteurs. » sourcePlutarque, traduction R. FlaceliĂšre citĂ© dans Les Dieux bretons » de Preder Henoal – Guy TrĂ©daniel Editeur La forme et l’apparence de la planĂšte artificielle HyperborĂ©e se retrouve dans la croix celtique, et aussi dans le compas de marine, une boussole sous globe de verre qui reproduit prĂ©cisĂ©ment les caractĂ©ristiques divines de cet arche de l’espace. L’illustration ci-dessus est Ă©loquente, on y retrouve aussi la forme de l’Atlantide, Ă  condition de remplacer le coffret de bois par les eaux de l’ocĂ©an Atlantique. Cette forme particuliĂšre est Ă  la base de tous les symboles en forme de croix, dont les quatre branches sont Ă©gales. Un autre exemple confondant est la croix pattĂ©e des Templiers, qu’on retrouve plus d’un siĂšcle aprĂšs la dissolution de l’ordre du temple sur les voiles des trois caravelles de Christophe Colomb, et qui sera reproduite plusieurs siĂšcles aprĂšs sur l’uniforme vert-de-gris de nos ennemis Allemands. Les quatre branches de la croix reprĂ©sentent les quatre fleuves du Paradis, qui sont en fait quatre canaux sur l’üle artificielle Atlantide. Ces quatre canaux ont Ă©tĂ© dĂ©mesurĂ©ment grossis par l’ignorance des copistes et des effets de mode, il faut pourtant y voir, non pas un symbole, mais bel et bien la reprĂ©sentation du Paradis, un paradis artificiel qui nous a tournĂ© la tĂȘte et dont la mĂ©moire est dans chacune de nos cellules. Contrairement Ă  l’Atlantide, dont la trop lointaine disparition a effacĂ© les descriptions prĂ©cises, HyperborĂ©e est attestĂ©e dans de nombreuses lĂ©gendes » — lĂ©gendes, c’est ainsi que les historiens ont baptisĂ© les chroniques les plus anciennes. Pour eux, tout se passe comme si, avant 4000 BP, nos ancĂȘtres n’avaient racontĂ© que des conneries. Et puis soudain, aprĂšs cette date, ils ont arrĂȘtĂ© de dĂ©conner pour commencer Ă  nous dire la vĂ©ritĂ©. En tant que mythologue, je n’ai pas cette prĂ©vention. J’accueille avec la mĂȘme rigueur les textes les plus anciens comme les plus modernes. Je n’ai pas de date butoir, ni de pensĂ©e dominante, ni de sujet tabou. Je ne crois pas que l’homme soit supĂ©rieur Ă  l’asticot, mais il se trouve que je ne suis pas un asticot. En 330 AEC, PythĂ©as, un Grec de la colonie de PhocĂ©e,Marseille explorateur et navigateur, Ă©crit dans son journal Quand le sommeil me terrasse par moments, je vois mon navire sur les flots de l’OcĂ©an immense et je songe que je suis au pays oĂč le soleil ne se couche plus. Oui, j’ai rĂȘvĂ© au jour sans fin dans une lumiĂšre blonde. Je suis tellement impatient de tourner la proue de mon navire vers le Septentrion ! Tout en haut de l’üle de Bretagne, vers le Nord, les jours durent plus de vingt heures pendant l’étĂ©. C’est de lĂ  qu’il me faudra partir vers le TrĂŽne du Soleil. Je veux aller en HyperborĂ©e oĂč je serai au sommet du monde et oĂč je comprendrai la beautĂ© des nombres suprĂȘmes. Je veux aller chez les HyperborĂ©ens. Je veux voir le soleil qui ne se couche pas et le lit de la Grande Ourse. Je prie ArtĂ©mis de m’inspirer et d’intercĂ©der auprĂšs de son brillant frĂšre, Apollon, pour qu’il me permette d’aller le contempler dans toute sa gloire au sommet du monde, lĂ  oĂč il est vainqueur de la nuit, lĂ  oĂč son char est entraĂźnĂ© par des chevaux blancs tout au long d’un jour merveilleux et triomphant. Je ne veux voir qu’une longue route vers ce pays borĂ©al qui me conduira vers le jour sans fin, l’ambre, l’étain et peut-ĂȘtre vers la mort. Mais la mort me sera douce si je connais enfin la vĂ©ritĂ© du cosmos et sa beautĂ© digne des dieux. Oui, cet Ă©tĂ© je serai Ă  la source du vent de BorĂ©e, et je verrai la victoire du soleil, si ArtĂ©mis me fait cet honneur que j’attends avec impatience. » sourceJournal de bord de PythĂ©as le Grec, d’aprĂšs Ferdinand Lallemand 1955 HyperborĂ©e Ă©tait un Ăźle spatiale flottant dans le ciel du pĂŽle nord. Un continent suspendu avec des milliers d’habitants, des forĂȘts, des vergers, des champs cultivĂ©s, des montagnes et des riviĂšres. Les dieux d’HyperborĂ©e avaient besoin de personnel. Pour cultiver la terre, pour travailler dans les mines, pour construire les villes nouvelles, pour assĂ©cher des marais, pour creuser des canaux et des tunnels, pour tout le colossal travail des terraformeurs. Les dieux ont besoin des hommes, dit-on. Ces dieux-lĂ , qui sont les seuls qu’on ait connus, avaient vraiment besoin des hommes
 et des femmes. Sur HyperborĂ©e, ils raflaient la crĂšme de la crĂšme, les meilleurs artisans et artistes, les plus astucieux comptables, les plus habiles bĂątisseurs, les meilleurs horticulteurs et Ă©leveurs, et surtout, avant tout, les plus jolies filles. La Bible nous dit Ă  quel point les dieux raffolaient des belles humaines. Comme je l’ai dit, les humains ont plutĂŽt bien vĂ©cu la chose. Au dĂ©but, en tout cas. Pour la plupart d’entre eux, ĂȘtre Ă©lu pour rejoindre le paradis apparaissait comme la suprĂȘme rĂ©compense. Bien sĂ»r, les Dieux ont mis les formes pour ça n’ait pas l’air d’une exploitation sordide. Les putes en Ă©taient fiĂšres. Les esclaves reconnaissants. Tous Ă©taient si contents de monter au ciel qu’ils y allaient en chantant des hymnes Ă  la gloire de leurs tyrans. Cette façon de voir a profondĂ©ment marquĂ© l’inconscient collectif. On en trouve la trace visible, quoique dĂ©formĂ©e, dans toutes les religions du globe. Le jardin des dĂ©lices de la trĂšs ancienne religion mazdéïste, c’est HyperborĂ©e. Nibiru, la planĂšte vagabonde de la religion babylonienne, c’est HyperborĂ©e. Le Tlalocan, le paradis du dieu aztĂšque ou maya Tlaloc ou Tchac, situĂ© au sommet de la plus haute montagne des Andes, c’est HyperborĂ©e. L’Olympe, le paradis de Zeus et de ses divins potes, c’est HyperborĂ©e. Le jardin des HespĂ©rides, mythique Ăźle paradisiaque peuplĂ©e de divines beautĂ©s, c’est l’Atlantide ou c’est HyperborĂ©e. Gwenwed, le cercle de lumiĂšre blanche, le paradis subtil de la Vieille religion celte, c’est HyperborĂ©e. Avalon, l’üle magique qui apparaĂźt et qui disparaĂźt, l’üle des superbes magiciennes d’occident, c’est l’Atlantide ou c’est HyperborĂ©e. Asgaard, la terre enchantĂ©e des dieux Ases, c’est HyperborĂ©e. Le Walhalla, le paradis de la vieille religion nordique, c’est HyperborĂ©e. Le paradis chrĂ©tien, prĂšs de Dieu, des saints et des anges, dans le ciel oĂč tout est parfait, c’est HyperborĂ©e. Le paradis d’Allah, aux mille vierges oĂč l’on reconnaĂźt les belles d’Avalon, c’est l’Atlantide, c’est Pount ou c’est HyperborĂ©e. Une telle unanimitĂ© a de quoi surprendre n’importe qui – sauf un historien. HyperborĂ©e est la terre des demi-dieux Tuatha DĂ© Danaan, dont on dit qu’ils Ă©taient des Elfes. Dans la mythologie celte d’Irlande, les Tuatha DĂ© Danaan le peuple de la dĂ©esse Dana sont des dieux venus de quatre Ăźles du nord, Falias, Gorias, Findias et Murias, d’oĂč ils apportent cinq talismans, la lance de Lugh, l’épĂ©e de Nuada, le chaudron et la massue de Dagda et la Pierre de Fal. » sourceWikipedia Les reprĂ©sentations tardives, comme celle qui suit, nous montrent une Ăźle circulaire, juste sur le pĂŽle nord, partagĂ©e en quatre quartiers. Ce sont les quatre Ăźles du Nord. Selon moi, il ne peut s’agir que d’une Ăźle artificielle, vue sa position. Elle ne peut pas tenir sur la banquise, comme l’Atlantide, elle ne peut pas flotter sur l’ocĂ©an glacial arctique, toujours gelĂ©. D’ailleurs si les lĂ©gendes parlent d’üles, elles situent ces Ăźles dans le ciel. Souvenez-vous hyper, au dessus ; borĂ©e, le pĂŽle nord. Pour moi, ces quatre Ăźles sont les quatre quartiers du vaisseau-mĂšre HyperborĂ©e, chacun abritant un des collĂšges d’activitĂ© quartier des prĂȘtres enseignants, quartier des nobles guerriers, quartier des marchands et financiers, quartier des artisans et ouvriers. Ainsi la sociĂ©tĂ© des dieux vivait-elle en parfaite harmonie. Cette quadripartition fonctionnelle a Ă©tĂ© imposĂ©e par Rama dans tout son empire, ce qui explique la survivance des quatre castes en Inde, mĂȘme si le systĂšme actuel n’est qu’une triste perversion du rĂ©gime initial. En France, sous l’influence des Celtes selon J-Cl. Flornoy, le systĂšme des quatre castes a Ă©tĂ© abandonnĂ© au profit des trois castes ou collĂšges druides, guerriers et les autres. Avec la rĂ©volution française, elles sont devenues le clergĂ©, la noblesse et le tiers-Ă©tat. TantĂŽt les Tuatha viennent d’HyperborĂ©e, qui semble ĂȘtre une terre rĂ©elle, tantĂŽt ils viennent du Sidhe oĂč ils y retournent quand les Celtes envahissent l’Irlande. Le Sidhe, lui, n’a rien d’un endroit rĂ©el sur cette terre. Les lĂ©gendes parlent clairement d’un autre monde. Cet autre monde, c’est la planĂšte artificielle dans le ciel arctique, c’est Nibiru, c’est HyperborĂ©e. Souvent confondus, rarement diffĂ©renciĂ©s, l’Arctique et l’Antarctique sont pourtant deux lieux situĂ©s aux antipodes l’un de l’autre. Nord ou Sud, comment les diffĂ©rencier pour ne plus se tromper ?Pouvez-vous dire prĂ©cisĂ©ment oĂč se situent l’Arctique et l’Antarctique ? Lequel est au Sud, et lequel se trouve au Nord du globe ? Une bonne fois pour toutes, voici la rĂ©ponse l’Arctique se trouve au pĂŽle Nord et l’Antarctique au pĂŽle si ces deux terres se ressemblent, plus de 20 000 kilomĂštres sĂ©parent ces deux bouts du monde, la diffĂ©rence a dĂ» mal ĂȘtre Ă©tablie. Entre terre de glace ou mer glacĂ©e, hospitaliĂšre ou sĂ©culaire, quelles sont les principales diffĂ©rences entre ces deux extrĂ©mitĂ©s terrestres ? de glace ou glace de mer ?La premiĂšre diffĂ©rence notoire entre ces deux continents est de nature gĂ©ologique. L’Arctique se compose essentiellement d’eau de mer gelĂ©e. Nous pourrions dire que grossiĂšrement, c’est un peu comment une immense banquise. L’ Arctique est donc une immense mer de glace entourĂ©e de terre qui s’étend sur six pays bordiers Ă  l’OcĂ©an Arctique Canada, Alaska États-Unis, Groenland Danemark, Russie, NorvĂšge et de son cĂŽtĂ©, est considĂ©rĂ© comme un continent Ă  part entiĂšre. Facile de le retenir grĂące Ă  l’expression utilisĂ©e par Michel Berger j’aimerais m’envoler vers ce paradis blanc ». Plus sĂ©rieusement, historiquement nommĂ© le Continent Blanc », l’Antarctique se compose Ă  98% d’une calotte glaciaire, autrement dit, on trouve une croĂ»te terrestre nichĂ©e sous son Ă©paisse couche de glace, et oĂč l’on peut retrouver montagnes et scientifiques, eux, prĂ©fĂšrent non pas parler de continent, mais plutĂŽt d’un archipel cachĂ© sous une Ă©paisse couche de glace » de 2 300 mĂštres en moyenne et des montagnes culminant Ă  4 897 mĂštres. En comparaison, l’Antarctique fait 25 fois la glaces pour grands horizonsIsberg en suĂ©dois signifie littĂ©ralement montagne. Les Icebergs de l’Arctique viennent des calottes qui coulent vers la mer, ce qui donne cet aspect dĂ©chiquetĂ© et Ă©corchĂ© aux glaciers. En raison des sĂ©racs violents, les icebergs arctiques sont principalement de taille moyenne, mais sont incroyablement et dĂ©raisonnablement massifs. En revanche, on trouvera les plus grands Icebergs en Antarctique. Normal, si l’on suit la logique annoncĂ©e plus haut. En raison de ses montagnes et de son paysage volcanique, le pĂŽle Sud prĂ©sente des icebergs de vie ou terre inhospitaliĂšre ?La deuxiĂšme diffĂ©rence Ă  noter concerne les lieux de vie sur ces terres de glace. Au pĂŽle Nord, en Arctique, vivent des populations d’autochtones rĂ©partis sur diffĂ©rents endroits. Au nord de l’AmĂ©rique, ce sont les Inuits. En Europe du Nord, les Sames. En SibĂ©rie, les Yakoutes. Tandis que ces habitants composent avec ces terres abruptes, les animaux sauvages et une nature indomptĂ©e couplĂ©e aux chutes de tempĂ©rature consĂ©quentes, l’Antarctique est restĂ© vierge de toute prĂ©sence humaine jusqu’aux annĂ©es 1821, aprĂšs les premiĂšres expĂ©ditions. A l’instar du roman La Nuit des Temps, de l’auteur RenĂ© Barjavel l’Antarctique n’est habitĂ© que par quelques bases scientifiques au cours de l’annĂ©e.©PonantTempĂ©rature hivernale ou glaciale ?L’Antarctique est de loin le continent le plus froid de la planĂšte, avec des baisses de tempĂ©rature enregistrĂ©es jusqu’à -93,2°. Les scientifiques s’accordent Ă  dire que les tempĂ©ratures diminuent vers l’intĂ©rieur du continent, mais Ă©galement en fonction de l’altitude. La partie la moins inhospitaliĂšre se trouve le long de la cĂŽte ouest, vers la partie ocĂ©anique, lĂ  oĂč les tempĂ©ratures ne descendent pas en dessous de 0°C durant les mois d’étĂ© et de -10°C en plein contrario, en Arctique, les thermomĂštres varient assez abruptement. La rĂ©gion se caractĂ©rise plutĂŽt par des hivers longs et froids, et des Ă©tĂ©s courts et tiĂšdes. On peut passer de tempĂ©ratures hivernales de -40°C Ă  0°C, avec des chutes allant jusqu’à -50°C. En Ă©tĂ©, la moyenne veut que le climat ne dĂ©passe que rarement la barre des 10°C. Exceptionnellement, certaines rĂ©gions atteignent parfois les 20°C.©PonantSang chaud pour trĂšs grand froidDerniĂšre diffĂ©rence la faune locale. L’Arctique, comme l’entend si bien sa racine grecque arktos signifiant ours, est la terre des ours polaires. On peut aussi rapprocher le terme de l’antiquitĂ©, lorsque les navigateurs prenaient la direction de la Grande Ourse et de la Petite Ourse pour s’y rendre. Ces prĂ©dateurs au pelage aussi blanc que le nacre, partagent leur milieu de vie aux cĂŽtĂ©s d’autres espĂšces tels que les renards polaires, les caribous, les chouettes harfangs ou encore les bƓufs musquĂ©s, les narvals et les baleines y trouve aussi la Sterne arctique, une espĂšce d’oiseau qui parcourt plus de 35 000 km pour sa saison migratoire d’Arctique Ă  Antarctique, des bĂ©lugas ainsi que des morses et des contrario, en Antarctique, on trouvera beaucoup plus d’espĂšces d’oiseaux, avec plus de 40 espĂšces rĂ©pertoriĂ©es. En outre, on peut aussi y observer des baleines, des phoques, des Ă©lĂ©phants de mer ou encore des manchots quatre espĂšces vivent en Antarctique. Mais si manchots Ă  jugulaire et papous frĂ©quentent la pĂ©ninsule, seuls les AdĂ©lie et les empereurs nichent sur le rivage des cĂŽtes. Ces derniers se regroupent d’ailleurs par milliers sur les banquises, formant ainsi des rookeries », pour se tenir chaud durant les grandes baisses de tempĂ©rature. En raison d’une prĂ©sence partielle de l’homme, les animaux de l’Antarctique sont moins peureux, ce qui paraĂźt aux visiteurs d’un jour de les approcher plus amplement que ceux de l’Arctique, plus peureux. Dans les deux cas, le spectacle promet d’ĂȘtre incroyable et de couper le souffle. Le 21 dĂ©cembre le Soleil atteint sa dĂ©clinaison la plus basse. C’est le solstice l’hiver commence dans l’hĂ©misphĂšre nord, l’étĂ© dans l’hĂ©misphĂšre raison de l’inclinaison de l’axe de rotation terrestre, notre planĂšte ne prĂ©sente pas toujours le mĂȘme hĂ©misphĂšre au Soleil. Au moment du solstice d’hiver l’hĂ©misphĂšre sud connaĂźt l’étĂ© et le pĂŽle Sud est Ă©clairĂ© alors que l’hĂ©misphĂšre nord ne reçoit que des rayons rasants qui ne nous chauffent pas beaucoup et qui n’atteignent mĂȘme pas le pĂŽle Nord plongĂ© dans le noir. Ce sera la situation inverse lors du solstice d’étĂ© au mois de annĂ©e le Soleil qu’on peut voir sur cette image du photographe grec Loukas Hapsis atteint sa position la plus mĂ©ridionale par rapport Ă  l’écliptique le 21 dĂ©cembre, passant Ă  la verticale du tropique sud, le tropique du 21 juin prochain notre Ă©toile sera Ă  la verticale du tropique du Cancer les noms de Cancer et Capricorne ont Ă©tĂ© attribuĂ©s il y a environ ans en tenant compte de la position qu’occupait alors le Soleil dans le zodiaque au moment des solstices.Coucher de Soleil dans la RĂ©serve des marais du MĂŒllembourg Ă  Noirmoutier. © Elza FackConcrĂštement nous voyons le Soleil beaucoup plus bas dans le ciel en hiver qu’en Ă©tĂ© si nous habitons l’hĂ©misphĂšre nord. Le 21 dĂ©cembre un Parisien verra le Soleil atteindre pĂ©niblement une hauteur de 18° au-dessus de l’horizon sud alors que cette hauteur dĂ©passe les 65° lors du solstice d’étĂ©. Le Soleil est entre ces deux valeurs au moment des Ă©quinoxes. Ce mouvement annuel apparent du Soleil peut ĂȘtre mis en Ă©vidence en le photographiant tout au long de l’annĂ©e depuis le mĂȘme endroit et Ă  la mĂȘme heure c’est ce qu’on appelle l’analemme, une figure en forme de “8” allongĂ©."J'ai en moi un besoin terrible. Dirais-je le mot? La religion. Alors, je sors la nuit et je peins des Ă©toiles." Vincent van Gogh

c est pas sorcier le pole nord