100 références de vélo électrique en stock. Livraison gratuite à partir de 89€ Venez essayer le VAE de votre choix. demande d'essai. Back. Stromer. ST1 ST2 ST3 ST5 ABS Voir tous nos modèles. Gazelle. Medeo Ultimate Bienvenuechez Amsterdam Air, le spécialiste du vélo hollandais électrique ! Amsterdam Air vous propose une large gamme de vélos à assistance électrique (ou VAE) conçus pour tous types d’utilisateurs. Confortables, Quelest le coût de la recharge de son vélo électrique? Si on prend l’exemple de Marc, qui a un véhicule possédant une autonomie de 60 kilomètres, les dépenses engendrées par kilomètre seront de 0,06/60 : 0,001 euros. Marc dépense donc 2,5 euros par an pour la recharge de son vélo électrique. Si on prend le même trajet en voiture 1 Bien choisir son vélo à assistance électrique. Pour un futur voyage à vélo électrique en France, le choix du VAE est essentiel. Le modèle doit en premier lieu être adapté aux routes que l'on emprunte. Un vélo de ville, un VTC ou un vélo de course est recommandé pour les routes bitumées. En revanche, lorsqu'on s'apprête à Unvélo électrique sans chaîne ni courroie Un pédalier pour alimenter le moteur en électricité et recharger la batterie Schaeffler présente le "bike-by-wire", ou la dynamo appliquée au vélo Rechargerson vélo électrique en voyage ? C’est possible grâce aux chargeurs solaires. Ce sont des petits panneaux photovoltaïques portatifs ; certains sont rigides (ils peuvent par exemple se fixer sur le porte-bagage) et d’autres sont pliables (et peuvent se ranger facilement dans un sac). Detrouver un point de recharge pour votre vélo ou VTT à assistance électrique ? Nous vous avons fait une sélection des professionnels "Accueil Vélo" prêts à vous accueillir et vous rendre service à ce sujet. Faites appel à leur service et reparter en toute tranquillité sur les routes et les sentiers du Luberon et du Verdon. 5CONSEILS POUR RECHARGER LA BATTERIE DE SON E-BIKE EN VOYAGE 1. Les batteries lithium-ion ne doivent pas être constamment déchargées puis rechargées Commentrecharger son vélo électrique ? Le vélo électrique est un moyen de transport aux multiples avantages. Il est très apprécié, surtout en milieu urbain, car il offre Pourrecharger votre vélo électrique en camping car, il vous suffit de brancher le câble de chargeur sur une prise électrique standard. Le chargeur de vélo électrique est généralement un appareil très compact qui ne prend pas beaucoup de place dans un camping car. Lire l'article . Rechercher. Rechercher. Derniers articles. Quels accessoires mtDROj. Étapes simples pour recharger votre batterie EnergyPakRecharger un vélo électrique est simple comme bonjour! Mais il y a certaines choses que vous devez savoir afin de maximiser la durée de vie de votre batterie. Ces conseils pratiques augmenteront la performance et durée de vie de votre batterie le niveau de la batterieVous pouvez vérifier le niveau de la batterie à deux endroits sur le vélo le système RideControl de votre guidon. Tout dépendant du système RideControl utilisé, vous pourrez voir le niveau de charge dans les lumières LED ou l'affichage numérique lorsque vous l'EnergyPak lui-même. Après avoir retiré la batterie, appuyez sur le bouton de la batterie. Les voyants LED devraient s'allumer, indiquant le niveau de la la batterieLiv propose deux types de chargeurs pour votre batterie EnergyPak Chargeur intelligent Smart il est essentiel de recharger rapidement les batteries pour recommencer à jouer en plein air. Le chargeur intelligent 6A, compatible avec les plus récentes batteries EnergyPaks intégrées au tube diagonal de nos vélo, représente le moyen le plus rapide de charger. Il offre des résultats ultra-rapides, chargeant l'EnergyPak à plus de 60 % de sa capacité en 90 chargeur intelligent peut également prolonger la durée de vie de la batterie. Lorsque les batteries EnergyPak ont été chargés plus de 500 cycles, le chargeur utilise une tension plus basse qui prolonge la durée de vie de la standard Le chargeur 4A est compatible avec la plupart des batteries Liv EneryPak. Il est petit et léger, il est donc facile à de la batterie EnergyPak sur le vélo ouvrez le couvercle et branchez le chargeur intelligent Smart ou standard directement dans le port au-dessus du moteur la batterie EnergyPak à la maison Retirez la batterie de votre vélo électrique. Connectez le câble adaptateur au port de votre batterie EnergyPak. Connectez l'autre extrémité du câble adaptateur à votre chargeur Smart ou la charge, le voyant LED du CHARGEUR sera rouge. Le voyant de la BATTERIE ENERGYPAK clignotera en rouge. Lorsqu'il est complètement chargé, le voyant DEL du CHARGEUR devient vert. Le voyant de la BATTERIE ENERGYPAK s'éteindra d'hibernationLorsque vous achetez un vélo électrique en magasin, il sera parfois en mode veille prolongée». Vous pouvez déterminer si votre batterie EnergyPak est en veille prolongée en appuyant sur le bouton de vérification du niveau d'énergie. Les LED de l'EnergyPak ne s'allumeront pas. Pour sortir votre batterie du mode hibernation, vous devez suivre les étapes suivantes Branchez un chargeur actif dans l' le chargeur de l' est maintenant sorti du mode hibernation. Lorsque vous appuyez sur le bouton de contrôle du niveau d'énergie, les LED s' êtes prête à rouler !CONSEILS PRATIQUESIl est préférable d'éviter les températures extrêmes, pendant votre randonnée et lorsque vous rechargez votre batterie. Une charge inférieure à 0 °C ou supérieure à 40 °C 32 °F/104 °F peut entraîner une charge insuffisante et nuire au cycle de vie de la vous retirez la batterie pour la stocker, assurez-vous qu'elle se trouve dans un espace sûr et climatisé. Vous ne devez pas ranger la batterie pour une longue période lorsqu'elle est vide ou très faiblement le vélo n'est pas utilisé pendant une longue période un mois ou plus, il est préférable de retirer la batterie du vélo et de la stocker à 60% de sa capacité 3 LED de charge sur 5.Lors de l'entreposage, vérifiez tous les mois si au moins une LED clignote toujours. Chargez en cas de besoin, au moins tous les 3 mois. Négliger cette pratique pourrait annuler votre vous chargez la batterie, assurez-vous qu'elle se trouve dans un endroit sec. Assurez-vous également que l'EnergyPak et le chargeur sont dans un endroit où ils ne provoqueront pas d'incendie. C’est décidé vous allez vous offrir votre premier VAE. Très bonne idée. Tout de même, avant de craquer pour un modèle ou un autre, quelques réflexions s’imposent. Après nous avoir conseillé sur le choix de nos micro-mobilités, le CEO de Volt Grégory Coillot nous dit comment choisir sans se tromper le vélo électrique qu’il nous faut! Face à une offre pléthorique il est souvent difficile de s’y retrouver Selon Grégory Coillot, Si l’on met à part les Speed bikes qui, pour le moment, représente un marché de niche, trois grands types de vélos électriques existent. Les vélos pliables, parfaits pour les citadins puisqu’ils peuvent être rangés facilement dans de petits espaces. Les vélos à fourche, spécifiquement masculins. Et les vélos hollandais. Sans tube au milieu, ils sont très féminins puisque celles-ci n’ont pas besoin de l’enjamber pour l’utiliser.» Vélo électrique hollandais OMA Classic A cela vient, bien sûr, s’ajouter de nombreuses segmentations qui répondent à tous les usages. On peut citer, par exemple, les vélos cargo, les triporteurs, les VTT, les Gravel… Parmi tous ces modèles, et face aux centaines de marques qui existent, si vous entrez dans un magasin sans idée précise il sera bien difficile de vous y retrouver! Sauf si certaines marques vous ont attrapé par leur marketing puissant, évidemment. Mais le plus souvent, c’est le vendeur qui vous dirigera face à cette offre pléthorique.» Pour quels usages utiliserai-je mon vélo électrique? C’est évidemment la première question à se poser. Vais-je l’utiliser essentiellement pour mes trajets domicile-travail? Pour mes loisirs? Ferai-je seulement de courts déplacements? Des plus longs? Roulerai-je en ville, sur route ou à la campagne? En ville, on choisira généralement des vélos entre vingt et vingt-cinq kilos avec une autonomie assez faible mais suffisante pour faire deux ou trois jours de trajet. Parce que, c’est sûr, vous n’aurez pas envie de recharger votre vélo électrique trop souvent», prévient le CEO de Volt. A l’inverse, si vous comptez faire de longues distances ou l’utilisez à des fins sportives, vous devrez veiller à ce qu’il possède une autonomie plus grande. Pour le reste, dites vous que d’un vélo à l’autre les form factors» sont quasiment les mêmes. Vous aurez toujours plus ou moins le même compteur. Les chaines, pareil. Et pour le dérailleur, une dizaine de fournisseurs seulement tiennent la route dans le monde. Quant au système, c’est simple soit le moteur est central, soit il se situe dans le moyeu de la roue arrière. Dans ce dernier cas, il permettra une puissance supplémentaire, mais vous le trouverez essentiellement sur les vélos sportifs hauts de gamme donc au delà des 3 000 euros. Vous pouvez aussi choisir un vélo à chaîne ou à courroie. L’avantage de celui à courroie, c’est qu’il ne vous demandera pas d’entretien particulier.» Vélo électrique Neomouv avec batterie centrale Au prix moyen d’un vélo 1 650 euros, vous avez besoin de voir votre engin, de l’essayer. Et de savoir que vous pourrez avoir un réparateur proche de chez vous si jamais vous avez un problème!»Grégory Coillot, CEO de Volt Veillez à la qualité des composants Sauf à être un connaisseur un acheteur ne peut pas vraiment savoir si les composants sont ou non de qualité. Reste donc à faire confiance au vendeur. Tout de même, quelques signes ne laissent pas place au doute. Si l’on vous parle de composants chinois aux noms obscurs, vous pourrez l’avoir payer 1 000 euros, votre vélo risque de ne pas tenir bien longtemps! En revanche, si l’on vous parle d’un dérailleur Shimano, d’un moteur Bafang ou Bosch et d’une batterie Bosch ou LG, là vous pourrez avoir confiance! Vous l’aurez peut être payé 2 500 euros, mais vous aurez un beau produit. Et pendant cinq ans vous l’utiliserez sans souci.» Pensez à l’entretien… et aux éventuelles pannes! Un vélo c’est sympa mais il faut l’entretenir. Au final, sachez-le vous vous occuperez plus d’un vélo que d’une voiture électrique! Il vous faudra graisser la chaîne, purger les freins, gérer les crevaisons, réparer les rayons… Avec un vélo électrique, vous êtes sujet à des typologies de casses plus régulières que sur un deux-roues mécanique normal, il va plus vite!» Freins vélo D’où l’intérêt essentiel de vous assurer de l’existence d’un SAV à proximité. Grégory Coillot le confirme Trottinettes ou vélos, c’est un business de magasins! Pour une raison simple au prix moyen d’un vélo 1 650 euros vous avez besoin de voir votre engin, de l’essayer. Et de savoir que vous pouvez avoir un réparateur proche de chez vous si jamais vous avez un problème! D’autant qu’il y a toute chance que comme 97% de la population française vous ne sachiez pas réparer vous-même une chambre à air!» Avec plus de 510 000 engins vendus en 2020 + 29 %, une offre de location en constante progression et une pratique qui se démocratise au quotidien et en vacances, le tourisme à vélo à assistance électrique a de beaux jours devant lui, à condition de pouvoir en assurer la charge. Bien que l’autonomie des vélos ne cesse de s’améliorer, la peur de tomber en panne le long des itinéraires aménagés peut être un frein. Alors comment répondre aux besoins des usagers ? Quel système de charge privilégier ? Comment les sécuriser ? Où les implanter ? Vélo & Territoires vous éclaire sur les questions à se poser avant de se lancer dans une installation coûteuse. Aire d’arrêt à Montjean-sur-Loire ©SIEML Se poser les bonnes questions pour booster la fréquentation Avant toute installation, il est essentiel de s’interroger sur le besoin des usagers. Une évidence, certes, mais qui nécessite d’avoir une connaissance fine des attentes, des pratiques et des tendances. Si grâce au VAE, l’usage du vélo, notamment en itinérance, met à la portée de toutes et tous le fait d’avaler les kilomètres, même en zone de montagne, gare à l’état de sa batterie ! Les problèmes mécaniques seront d’autant plus contraignants avec un VAE dont le poids est généralement supérieur à un vélo classique. L’autonomie des batteries est de plus en plus importante. Elle dépasse désormais les 200 km en mode économique, et permet de pousser jusqu’à 400 km pour les VAE les plus performants. De quoi largement suffire pour une journée type d’itinérance à vélo, de 65 km en moyenne, et permettre la recharge à l’hébergement ou chez un restaurateur pendant la pause déjeuner. Toutefois, en fonction de la distance à parcourir, du dénivelé et de l’assistance nécessaire, les touristes à vélo ont besoin de se sentir rassurés sur le fait qu’ils disposeront, le long d’un itinéraire cyclable, de solutions de recharge, dont sous la forme de borne VAE. Quel système de recharge prioriser ? Bornes dites classiques » ou à recharge rapide, prises doubles ou à entrées multiples, ajout de prise USB, … de multiples modèles de bornes existent et sont en constante évolution. En cohérence avec les usages, il est préconisé d’intégrer des prises USB dès que possible pour permettre la recharge de téléphones portables ou de petits appareils électroniques. Si les modèles à deux ou quatre prises semblent suffisants, il est pertinent d’anticiper leur possible augmentation si besoin. Il existe à ce jour deux grands types de bornes de recharge Les bornes de recharge rapide à prioriser permettent une charge accélérée du matériel entre 30 et 90 minutes chrono selon les modèles. Ces bornes s’adaptent à la plupart des batteries et ne nécessitent pas de transporter son propre chargeur. Une économie de poids pour les usagers, mais gare aux vols et aux dégradations de câbles pour les gestionnaires de ces modèles souvent positionnés sur les aires de services ou à proximité d’un point d’intérêt touristique. Les bornes classiques » équipées de prises domestiques 220 V sur lesquelles l’utilisateur peut venir brancher son matériel un format simple et économique qui nécessite toutefois de se brancher à l’aide de son propre chargeur. L’inconvénient majeur de ce système ? Son temps de charge il faut compter entre 3 et 8 heures pour une charge complète selon le vélo et le modèle de batterie. Cet équipement ne convient donc qu’aux cyclistes peu pressés susceptibles de faire des pauses de très longue durée ! Autre tendance ? Le développement des stations à hydrogène, qui supposent toutefois des infrastructures et un budget conséquents. Précurseur en la matière, l’agence d’attractivité Latitude Manche s’engageait dès 2016 dans l’expérimentation des vélos à hydrogène à travers le projet Bhyke et un consortium public-privé. Cinq ans plus tard, les expérimentations se multiplient et pour cause un vélo à hydrogène se recharge en moins de trois minutes. Le Grand Chambéry, la communauté d’agglomération Pays Basque ou encore la région Auvergne-Rhône-Alpes testent l’installation de stations, tout comme dans l’agglomération de Vichy ou encore à Brides-les-Bains, au pied du Col de la Loze. Cette solution, possible à l’échelle d’une destination locale, est loin d’être majoritaire aujourd’hui. Elle s’avère en effet difficilement transposable dans un contexte d’itinérance à vélo qui exige la continuité. A l’essai dans les territoires, une évaluation du dispositif permettra à terme de statuer sur le devenir de cette technologie. Un phénomène à suivre également les recharges alimentées par panneaux photovoltaïques. Un dispositif durable à n’en pas douter, s’il est utilisé à bon escient. Ces panneaux photovoltaïques n’auront de plus-value que s’ils permettent d’alimenter une borne isolée d’un réseau électrique existant. Comment définir les lieux d’implantation ? S’il n’existe pas de règle immuable pour bien implanter ses bornes, les neuf recommandations suivantes peuvent éviter la panne sèche Réaliser un diagnostic du territoire analyser les besoins en termes d’usage et l’offre existante Prioriser des lieux de passage propices à faire une pause une aire de services pour recharger ses propres batteries en même temps que celles de son fidèle destrier, un site de visite, etc. Concerter les acteurs locaux avant installation Associer des lieux accueillant du public à des dispositifs de recharge offices de tourisme, hébergeurs, sites de visite, restaurateurs et plus globalement les prestataires Accueil Vélo Proposer des services associés prévoir un dispositif permettant de sécuriser la batterie ou le vélo pendant la recharge, des prises USB, un accès wifi, des casiers sécurisés… Favoriser des équipements avec une bonne intégration paysagère Prévoir, en amont du voyage, une parfaite transmission de l’information pour planifier ses étapes sereinement Organiser sur site une communication et une signalétique adaptées pour guider les cyclistes vers les lieux de recharge existants Assurer un suivi de l’utilisation des bornes et ne pas négliger l’entretien Ces réflexions facilitent une implantation dans des lieux stratégiques et donc une meilleure orientation des usagers. L’Anjou a joué un rôle de pionnier sur ces sujets. Son déploiement de onze stations de recharge sur La Loire à Vélo et La Vélo Francette, développées avec le Syndicat intercommunal d’énergie de Maine-et-Loire, se présentant sous la forme de quatre casiers dans des armoires a contribué à définir les recommandations ci-dessus. Borne de recharge VAE classique en Maine-et-Loire ©SIEML Partenariats publics – privés une idée lumineuse ? Pour choisir les bornes les plus adaptées, se pose bien évidemment la question des pratiques des cyclistes, du lieu d’implantation et, enfin, du budget à consacrer à l’achat, à l’installation et à la gestion de ces dispositifs. Les bornes VAE ont un coût, estimé entre 3 000 et 8 000 HT l’unité, hors alimentation. De quoi voir rapidement grimper la facture pour les collectivités gestionnaires. Pour réduire l’addition, certains acteurs touristiques se lancent dans des partenariats publics – privés. Bosch eBike Systems a ainsi lancé en 2018 son propre réseau de bornes de recharge VAE adapté à ses batteries et en a doté gratuitement quelques destinations françaises. Dans le Grand Est par exemple, en partenariat avec Alsace Destination Tourisme, le Massif des Vosges a été équipé d’un réseau dense privilégiant les Fermes Auberges d’Alsace labellisées, les stations de montagne et les sites touristiques. Plus au Sud, l’Agence d’attractivité et de développement touristiques Béarn Pays basque a également déployé ce dispositif auprès d’offices de tourisme et de professionnels du tourisme sur deux grands itinéraires la route des cols des Pyrénées et la Grande Traversée VTT du Pays basque. Concluons sur la grande pertinence des acteurs touristiques comme relais d’une offre de recharge localement hébergeurs et restaurateurs labellisés Accueil Vélo sont invités à faire connaître les services qu’ils proposent en matière de recharge VAE et autre. Le faire savoir plus largement est de nature à rassurer les usagers et à encourager la pratique. Karine Lassus Pour aller plus loin Atelier Energie et vélo » des 23es Rencontres Vélo & Territoires en Maine-et-Loire en 2019 le diaporama réservé aux adhérents et l’article de suite de Vélo & Territoires La fiche-action n°8 Equipements et aires d’arrêt » de Vélo & Territoires de 2018 réservée aux adhérents Atelier Equiper les itinéraires cyclables » des 22es Rencontres Vélo & Territoires en Savoie le diaporama réservé aux adhérents Discussion VAE – Borne de recharge électrique » sur le forum technique réservée aux adhérents

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